Autre soirée d’inscriptions chaotique à Gatineau

Un 2e report des inscriptions aux activités de la Ville

Frustration pour bien des Gatinois qui se sont butés une fois de plus à un message d’erreur, en tentant de s’inscrire aux activités de culture et loisirs. Pour une deuxième fois, la Ville se voit obligée de reporter ses inscriptions en raison d’un problème technique et ne sait toujours pas quelle en est la cause.

Gatineau tente de mettre le doigt sur ce bobo alors que plusieurs équipes sont mobilisées pour identifier et régler la faille informatique. Un audit sera aussi réalisé pour analyser l’ensemble des processus.  

La Ville travaille aussi sur un plan de contingence afin de pouvoir procéder aux inscriptions.

Une problématique qui provoque un report du début de la session. L’intention est de conserver le même nombre de semaines d’activités.

Des détails sur la marche à suivre et les nouvelles dates d’inscriptions seront bientôt communiqués par la Ville.

« On a des gens compétents, on a des ingénieurs en informatique qui sont venus, on a fait des tests, tout allait bien. Il y a clairement quelque chose qui nous échappe. Il n’y a pas un employé ici qui est content que des parents aient perdu du temps et qui s’arrachent les cheveux, ce n’est pas le genre de services qu’on veut offrir aux citoyens ».

_{-France Bélisle, mairesse de Gatineau}

Le Service des loisirs aussi en mode solution

Le président de la Commission des loisirs et des sports, Steven Boivin, a réagi à la sortie d’associations de hockey mineur, sur nos ondes vendredi dernier, où elles déploraient le manque d’heure de glace.

Selon le conseiller, ça démontre la nécessité de construire 4 nouvelles glaces dans l’Ouest.

Entre-temps, il assure que la Ville est en constante communication avec les associations.

« C’est certain qu’on essaie d’accommoder tout le monde. Tout le monde essaie d’avoir des heures idéales, de faire un équilibre et la meilleure façon de le faire, je pense, c’est étroitement avec les associations. Notre rôle avec la Ville, c’est de s’asseoir avec les associations, de voir leur réalité et en ce moment, le dialogue est très bon ».